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Le blog de othmane
4 mars 2005

Rencontre sur les weblogs à Essaouira

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Commentaires
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A NOS AMIS JOURNALISTES DE TOUS LES MEDIAS<br /> <br /> <br /> Cette semaine du 25 Avril 2008 on a vu le Printemps des Patients et les journalistes invités à encadrer cette manifestation, faire montre de compassion à l’endroit des maladies chroniques. <br /> <br /> <br /> <br /> Cette sensibilité univoque provoque un glissement évacuateur des maladies dites « légères » au profit des seules maladies reconnues comme « graves ». <br /> <br /> <br /> Cette disposition, louable à première lecture, est synonyme de renonciation à un droit plus "général" en vue d’obtenir un privilège "particulier "! Posture qui équivaut à s'accommoder des exactions envers certaines pathologies, et à les minorer. Pire, à donner leurs créances aux lois du servage. A ces résurgences de la dîme et de la gabelle. Autant de fiscalisations prédatrices des débilités et des afflictions. <br /> <br /> Le résultat de cet effacement complaisant reviendrait à avaliser les réglementations qui légitiment l’exploitation des souffrances et des gens. <br /> <br /> Ces lois, nous les dénonçons avec vigueur. Nous ne renoncerons pas à notre militance et à notre engament qui expliquent respectueusement au Gouvernement le non-sens de ces prélèvements ponctionnés sur le dos des malades. Chroniques ou aigus ! <br /> <br /> Nous réclamons l’exonération des médicaments et des soins, la « défiscalisation des douleurs et des fièvres » ! Quelles que soient leurs causes ! <br /> <br /> Notre requête implique de généraliser la Réforme Fiscale sollicitée des Hauts Lieux, à toutes les maladies, à toutes les tranches de la population, au matériel, aux réactifs, aux laboratoires, afin de produire un impact efficient sur tout le circuit des soins…<br /> <br /> Beaucoup de pays institueraient la taxe de Douane et de TVA sur les intrants des médicaments, le matériel et les réactifs nécessaires aux soins. Pas seulement le Maroc ! Quand tout le monde est sécurisé social, cela passe inaperçu, le malade est remboursé ! Quand le pays produit des médicaments (Je ne parle pas de mise en boîte) ça passe encore ! <br /> <br /> Mais quand c’est le contraire qui a lieu, c’est là ou le bas blesse ! Ça signifie que l’on fiscalise les douleurs et les fièvres. Et qu'on exploite les seuls malades…Les seuls en fait qui paient finalement ces taxes indirectes - 24 % que ne paient pas les personnes en bonne santé ! <br /> <br /> Où est alors l'équité entre les gens ? Et et dans cette façon de pénaliser seulement ceux qui sont malades ? <br /> <br /> Merci de votre écoute et de votre présence !
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GRAVES OU AMBULATOIRES, SUS AUX TAXES SCELERATES SUR LES MALADIES<br /> <br /> TOUCHE PAS A MES DOULEURS !<br /> <br /> Attention à la discrimination négative en ce qui concerne l’exonération des taxes indirectes sur les soins ! Messieurs les professeurs et parrains des associations de malades de Casablanca et vous les universitaires et gentes dames des Ligues de Rabat, vous commettriez un impair en minimisant les maladies ambulatoires et leurs désastreuses conséquences, quand elles sont sous estimées, négligées et leurs porteurs marginalisés, pour devoir à eux seuls supporter des taxes, dont vous voudriez qu’on dispense les seuls porteurs des maladies de longues durées.<br /> <br /> Nous déclarons que les maladies graves, poids énorme de drames, insurmontables pour la collectivité, doivent bénéficier de notre solidarité à tous. Mais qu’en rien, les maladies dites légères, ne doivent supporter les conséquences de leur empêtrement suranné dans des taxes archaïques ! Nous répétons que les taxes de Douanes et de TVA sont des escroqueries ! Hélas encore légalisées. Nous répétons que ces taxes infâmes sont héritées, dans leur esprit, des années sombres d’ignorance et de mépris coloniaux ! Les garder, peu ou prou, ou sur certaines pathologies et pas sur d’autres, c’est admettre pour ce pays, que les assujettis aux maladies relativement bénignes soient écrasés sous le joug prédateur des lois scélérates ! C’est accepter que le législateur, conscient des réglementations qu’il est amené à projeter, puisse laisser délibérément certaines maladies sous le joug de taxes sadiques et que sa grâce ne devrait libérer que certaines aux profit d’autres !<br /> <br /> Ces taxes de Douane et de TVA sur les soins, sont réellement pathologiques ! Toutes sont des saletés, certaines plus que d’autres ! Dès lors, toute récrimination des gestionnaires, tout calcul des fiscalistes, toute économie aux dépens et sur une variété ou une partie des soins, implique pour les maladies concernées qu’elles vont continuer seules à supporter les affres et les frais ! C'est-à-dire en vrac et en vrai des pénalités sur les douleurs et les fièvres ! Les grippes, les typhoïdes, les méningites, les colites, les angines…! Et là ce n’est ni du socialisme, ni du libéralisme, ni de l’islam ! Ni de la pitié, ni de la justice, encore moins de la raison ! Si certaines affections dramatiques bénéficient du respect, de l’entrisme, de la crainte ou de la complaisance envers les puissants gestionnaires des Ligues, pourquoi faut-il sacrifier les porteurs des maladies dites ambulatoires ? Quelles raisons opposer à leur dénigrement ?<br /> <br /> Ces personnalités prestigieuses attirent sur leurs Ligues toutes les passions, bien des sympathies et des mécènes. Mais, leurs aimables inclinations ne devraient pas créer de schisme entre les maladies. Dans leur sollicitude, dans la solidarité et l’empathie des cœurs qu’ils arrivent à mobiliser à l’endroit des leurs, ils ne doivent pas laisser le fisc s’attaquer aux maladies sans défenseurs attitrés ! C'est-à-dire toutes les autres maladies ! Et pourtant ce ne sont pas des maladies rares ou orphelines, celles que nous défendons ! Ce sont tous les citoyens marocains, sans favoritisme ni discrimination !<br /> <br /> Ce sont toutes les taxes de Douane 17 % et de TVA 7%, en général, qui dans leur principe même, que nous stigmatisons, et, que nous ne cessons de décrier depuis cinq ans ! Ce sont des formes d'exploitations des faiblesses et des incapacités, que nous accusons ! Ce sont des entraves sur les soins, sur le matériel, les réactifs et pas seulement sur les médicaments. Un carcan et un boulet sur chaque malade ! La dîme et la gabelle moyenâgeuse en pleine démocratie et en terre d'islam ! Des Impôts indirects pernicieux et pervers dans tous les secteurs de soins ! C'est un blocage des diagnostics, de la santé, de la vie et du développement des patients, alors que SM le roi ne cesse de baliser le terrain des pauvres et des handicapés par Sa grâce !<br /> <br /> Le Gouvernement doit suivre les pas prometteurs et les actes magnanimes de SM le Roi dans cet autre chantier de l'INDH, qu'est la santé ! Car il ne saurait y avoir de développement humain sans la santé ! Toute la santé, sans exclusive et sans privilèges des maladies graves sur les plus aiguës, sans prérogatives des plus longues sur les plus cruciales ! La santé est une notion entière qu'on ne doit pas voir sur le prisme déformant des plus tragiques des maladies, en oubliant volontairement ou par contournement tacticien, celles qui demeurent les plus nombreuses, les plus fréquentes ! Ces poisons de tous les jours, qui pour certains patients, ne sont pas des formes de rentes ni des expressions de bonheur taxables ou punissables par des impôts, qui resteront demain collés sur leurs ordonnances ! Ces pathologies dites ambulatoires, restent dramatiques et coûteuses, pour leurs bilans qu'il faut dégrever des taxes!<br /> <br /> Nonobstant la gravité des affections lourdes, c'est une injustice de privilégier, devant le législateur, les affections gravissimes aux dépens de celles qui permettent au patient d'espérer encore ! La clinique quotidienne est encombrée par toutes ces formes de fièvres, de douleurs, de vomissement, de diarrhées, de pneumopathies sévères, d'angines et d'infections contagieuses qu'il faut stopper ou éradiquer des cercles familiaux et communautaires ! C'est un non sens d'oublier la prophylaxie et la prévention et d'oublier par nos professeurs, que ce sont les affections bénignes, qui négligées, servent de lits au affections coûteuses et chroniques !<br /> <br /> C'est le début de la médecine, son b, a, b-a que de penser à l'hygiène et aux vaccins ! C'est un non-sens tactique que de saper les bases de la médecine et du combat commun et de vouloir s'accrocher aux seules affections les plus terribles et sacrifier le sort des plus nombreuses ou des plus légères à la curée fiscale ! C’est une erreur de prévention, une discourtoisie envers tous ceux qui souffrent de les marginaliser et de leur refuser les bénéfices escomptés de nos engagements !<br /> <br /> C’est une erreur dialectique, une méprise pédagogique, quand on sait que ce sont les pathologies dites légères qui servent de lits aux plus tragiques et aux plus lourdes des affections ! Lesquelles, il faut bien, commencent par quelque chose ! Dénigrées pour leurs petitesses, par les défauts de couverture sanitaire, par les insuffisances ou les failles des examens préliminaires, ces maladies bénignes servent de berceau aux plus dramatiques des maladies quand elles ne s’aggravent pas pour leur propres comptes !<br /> <br /> Vouloir se fixer des horizons sténopéïques, des créneaux de grâce privilégiée et sur mesure, en bridant les élans de ceux qui servent les maladies les moins graves, ne sert ni la grandeur de la Médecine ni les visées de la Santé publique. La solidarité doit être entière et générale ! La pitié, loyale à l'endroit des malades graves, ne doit se solder par la suffisance, narguer et négliger les autres affections, pour montrer le sérieux de ces affections ! Sinon ce serait une marque de partialité et de cruauté envers les autres souffrances !<br /> <br /> Faute d'inspirer l'appui et la force des grands cœurs, de leur logique élargie, faut-il demander au fisc d'appliquer une politique perverse à l’endroit des affections les plus courantes ?On ne doit pas montrer au réformateur sollicité, une rigidité sadique envers les porteurs d'afflictions les moins funestes ! Si par exaltation passionnelle, par spécificité professionnelle, par isolement dans le combat civique, on ne statue que sur la seule défense monolithique des patients chroniques, c'est que l'on veut permettre à l'Etat d'exploiter les autres souffrances et de fiscaliser les autres peines ! Si l'on est emporté par l'intérêt des seules tranches de malades les plus affectées, c'est une schizophrénie que d'oublier de rendre leurs droits aux autres. Et cette forme d'engagement partielle, devient partiale. Elle se réconforte en promotionnant, pour ses seules fins, l'injustice et l'iniquité. En cherchant l'adhésion des politiques, on ne doit pas minimiser le sort ni les droits de ceux qui portent des maladies ambulatoires.<br /> <br /> On ne doit pas non plus, abandonner par calcul ou par reddition anticipée, accepter que ces affections incertaines, taxées d’ambulatoires, soient négligées à l'instar des exclusions que pratique la Caisse CNSS . Une conscience vraie de ces dols, doit inciter les pouvoirs politiques à entreprendre une réforme générale courageuse et totale, susceptible de répondre à toutes les formes d'injustice sanitaire. Sans se calfeutrer, pour les nouveaux et sémillants défenseurs, dans de complaisantes et fallacieuses considérations financières, qui feraient leurs économies sur l'exploitation des malades ambulatoires !<br /> <br /> La Réforme demandée doit toucher globalement tous les secteurs de santé, civils militaires, publics et privés. La grâce royale sollicitée directement à SM que Dieu Le garde ou par l’intermédiaire des Conseillers et des Ministres doit toucher autant l'enfant porteur d'affections turbulentes, qui affolent les parents, que les vieillards, porteurs de nombreuses maladies inter-pénétrantes, subintrantes, toutes finalement coûteuses ! Pour être efficace et pertinent, le dégrèvement fiscal des taxes de Douane et de TVA, doit être fait d'un seul tenant, sur tout ce qui touche les malades et leur santé ! C’est là notre souhait et notre sens de la grâce royale et de l’efficience ! Pour être opérante, la défiscalisation doit être envisagée sur tous les médicaments, d'une part et d'autre part, (c'est notre thèse depuis cinq ans), sur les examens de laboratoire et de radiologie. Le calcul, l'impact économique, la liberté d'accès aux soins sont à ce prix ! Quand on sait le coût des intrants qui composent les médicaments grevés, quand on sait le prix des analyses, dont les réactifs et les robots sont si onéreux et leur cruciale nécessité pour assoir des diagnostics rigoureux, on ne peut que requérir et supplier pour une réforme complète !<br /> <br /> Résumons notre requête. Ces infamies éculées et anti-humanitaires, ces taxes iniques et antisociales, sont nuisibles, quels que soient les symptômes, et leur gravité. Elles freinent les soins et retentissent négativement sur la santé en la bridant. Ne s'attaquant électivement qu'aux malades, ce sont des exploitations prédatrices et sordides dans leur essence et leur manque de philosophie ! Des formes de vampirisme sur les maladies, qu'elles sucent, que celles-ci soient violentes , aigues, ambulatoires, graves ou chroniques.<br /> <br /> Exonération générale. Il s'agit de demander à Sa Majesté, Sidi Mohamed VI, que Dieu Le garde , de les enlever en bloc et de défiscaliser de la honte inique tous les soins de TVA et de Douane, en agissant à leur importation sur tout ce qui touche à la santé ! Faire une Réforme fiscale et non laisser aux "politiciens" le soin d’user de palliatifs, de placébos administratifs, sur certaines pathologies aux dépens d'autres, plus insidieuses et bien plus fréquentes.<br /> <br /> Vue l'importance de cet appel, tout en adhérant au ''principe de gravité'', il s’agit de ne pas exclure les affections bénignes ni de marginaliser leurs problèmes, pour contribuer à l'appel initial de détaxe générale et insister, avec le souci d'un regard nouveau et logique, sur la globalité de la réforme d'exonération. Non pas sur les seules maladies graves ou chroniques, nous nous répétons, mais sur toutes les souffrances, sans exception ! Nulle maladie, n'est un luxe ni un plaisir, pour devoir être taxée !<br /> <br /> Loyalement, il faut faire face et en rang, toutes associations et ligues comprises, contre toutes les exploitations de la Douane et de TVA, pour immuniser contre l'exploitation, toutes les douleurs, toutes les fièvres, légères ou graves, sans aucune ségrégation !<br /> <br /> Le parti pris sur les maladies chroniques, philosophie économique ou compassionnel est une paresse arithmétique et politique. C'est une castration de notre dossier pionnier et initiateur. Moitié du dossier, ce subterfuge tactique, apitoyant sur les maladies chroniques, laisse un vide et dénie aux autres porteurs de maladies leur droit ! Il laisse un trou non pas dans la sécu mais dans le concept du droit des malades à ne pas être exploités. Cette optique inéquitable laisse un crime fiscal "prospecter" voire " perpétré " sur les maladies ambulatoires. Cette vision au grand cœur mais parcellaire cultive la négligence populaire sur celles-ci. Elle exclue le travail des pharmaciens et des généralistes, en confortant l’incivisme de certains administrateurs pour le moins cauteleux et absurdes.<br /> <br /> Conclusions. Cette myopie qui délaisse les très nombreuses autres maladies leur permet de s'aggraver, au vu des médecins, par négligence, par ignorance et par culture chez les '' caisses de remboursement'' du laisser aller !<br /> <br /> Ne cédons pas au crime d'ignorance ou à l'arnaque passive, qu'est la fiscalisation des maladies. De toutes les maladies, sans frustrations ! C'est pour toutes les maladies et envers toutes les maladies que ces taxes, sont des exploitations abjectes et illégitimes. Sus donc, aux taxes scélérates, et vivent les impôts « civiques » et citoyens !<br /> <br /> DR IDRISSI MY AHMED , PRÉSIDENT DE L'AAMM<br /> aamm25@gmail.com 037376330 061252005
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APPEL A CELUI QUI AGIRA POUR SAUVER LES MALADES<br /> <br /> Plaidoyer : APPEL A CEUX QUI AGIRONT POUR SAUVER LES MALADES<br /> <br /> <br /> Ethique, Douanes et TVA sur les soins et les médicaments.<br /> <br /> Un appel civique à Ceux qui peuvent agir pour sauver les malades<br /> <br /> Mesdames et messieurs, les Conseillers du Souverain, Ministres et Députés de la Nation, vous qui pouvez avoir l’audience et l’écoute du Souverain, cadres sains de l’Etat, vous les médiateurs et leaders d’opinion, juristes, médecins, pharmaciens, des cliniques et de l’industrie, vous les présidents des ONG, vous les Leaders et Secrétaires des Partis, vous êtes responsables ! <br /> A ce titre, vous êtes sensés sentir les dols de la population et surtout de les transmettre à S.M le Roi. Nous percevons pour le Pouvoir une gloire de plus. C’est une action qui suscitera une exaltation immense en popularité, dont les bénéfices rejailliront sur tout le Peuple. Il s’agit ni plus ni moins que d’une mesure de justice. A savoir de gracier les malades en les dispensant de payer des taxes sur leurs maladies. Cette plaidoirie mérite Votre Haute Attention.<br /> <br /> <br /> <br /> Une citation<br /> <br /> « Célébrer les morts, est-ce utile aux vivants ? La civilisation est-ce de commémorer les morts ou de collectionner leurs faits et actes ? Défendre les malades à qui cela sert-il ? Supporter les malades est si lourd, mais, est-ce tellement ingrat ? Si vous dites encore que soutenir les vieux et les handicapés est une charge onéreuse et improductive, c’est que vous optez pour le meurtre et l’euthanasie ! Les Valeurs humanitaires d’un peuple se développent dans les soins attentifs aux malades et le courage exercé par tous, dans la poursuite de ce deal…Sachez qu’avant de naître, que vos enfants sont prédestinés et passibles d’une contravention originelle ! Ils assumeront des charges et des taxes que leurs parents ont laissé sévir sur leur propre santé ! » <br /> Par Mme Student, in « Chronique des gens qui passent»<br /> <br /> Le constat social<br /> <br /> Serait-il utile aux militants des Partis, à tous les Cadres Responsables du Royaume, qui analysant les événements, les idées et les actes, entre la morosité et les cataclysmes, politiciens ou telluriques, de se pencher aussi sur cette autre calamité, que sont les maladies ? Les simples maladies et leurs approches, législatives et économiques ! Médecins et pharmaciens ne suffisent plus ! Ils réclament une réforme ! Le Maroc nous regarde ! Nous sommes tous concernés !<br /> Est-il socialement productif de continuer à délaisser ce secteur vital, odieusement taxé d’inutilité, au profit d’autres factions plus dynamiques ? Est-il défendable de saborder ainsi sa base, la population de son propre pays ? Là où la souffrance réduit même les plus aisés d’entre les gens, au statut tragique d’assistés, rendant la dignité, donc la citoyenneté, à sa plus basse expression. Les Partis, par voie de fait, se transforment en collèges virtuels où des arrivistes sabordent les concepts de démocratie, en niant au peuple des quartiers leurs bons droits ! Du coup la signification même de représentants, leur crédibilité d’élus se perd ! Les milieux, ruraux, pauvres ou besogneux, dénigrés au profit d’expédients extatiques et de pétarades de salons, sont ceux qui requièrent le plus l’affection et justifient des Cadres leur temps, leur énergie et leur abnégation. Les actes de présence, les gestes de solidarité sont la base de la vie en communauté, donc de toute politique. Est-ce abâtardir les cadres et polluer leurs méninges que d’aspirer leur rencontre salvatrice avec les couches qui les ont générés ?<br /> La logique, la raison, les sentiments, la nécessité, le JUSTICE, requièrent le courage de ce retour. Le Peuple a besoin de ses fils pour reformer la famille ! Ces immersions dans les rues, les usines et les quartiers sont synonymes de rencontres entre condisciples et de proximité avec ceux qui remplissent les urnes, voire avec ceux qui avec raison s’en détournent et fuient les suffrages et les scrutins !<br /> <br /> L’appel des familles<br /> <br /> Le service humanitaire, acte altruiste de citoyenneté, est la meilleure audience pour les militants avec leurs électeurs potentiels. Le Peuple, ces simples sujets qui travaillent pour vous instruire, attendent qu’on étanche leur sueur. Ils attendent, non sans crainte d’être déçus et non sans espoir de fierté, un juste retour des sentiments de ces cadres, de ces cigognes, qu’elles refassent leur printemps ! Ils attendent que les programmes des Partis intègrent leurs soucis et leurs justes espoirs. Ils attendent que ces patriotes leur rendent justice et qu’ils lavent la honte des exactions et des abus ! Que les fils et les filles se détachent des innommables amalgames et se différencient de ceux qui les subornent et les trompent ! Que les programmes, leurs volontés écrites, soient aussi réalistes, que vrais et qu’on ne vole plus leurs droits, leurs aspirations et leurs rêves !<br /> <br /> Ils veulent que leurs besoin, les plus simples, soient réalisés. Que les élus ne soient plus que de virtuels pastiches, les uns des autres, bons à placarder les murs de fausses promesses qui restent les témoins balafrés de leurs mensonges !<br /> Et les chantiers à couvrir sont légions, dans tous les domaines, du travail à l’éducation et de la justice à la santé ! Le premier travail est de leur rendre leur confiance en soi et de régénérer un sang par trop corrompu par la paresse ! Le premier travail est de retrouver cette fierté légitime, cette richesse que nul adversaire n’avait pervertie. A commencer par chasser toutes les formes de mépris et tous les stigmates de l’humiliation : celles exogènes et celles dues au destin de tout être vivant ! Leur droit à la santé, le droit des personnes malades à être soignées, le droit de ne pas subir d’entraves ni d’être d’un système de soins, les otages muets ! Le droit de ne pas subir de surenchères, ni d’embargo sur leur santé.<br /> <br /> La santé est un droit<br /> <br /> Que dire de la santé, de l’accès aux soins, du coût des actes et du prix des médicaments, et qui plus est, des taxes que l’Etat prend sur les maladies et les malades, EN EXPLOITANT LEUR SOUFFRANCE ET LEUR MALADIE ?<br /> Les maladies représentent deux faces de la responsabilité des gestionnaires que l’on peut réexaminer sous un nouvel angle, plus moderne et plus contemporain. Celui qu’il est d’assurer les besoins communautaires en médications et celui des moyens et règlements d’approche pour l’acquisition des médicaments et des soins. Sachant qu’il ne saurait y avoir de conflit d’intérêt entre les obligations de l’état dans ses deux facettes de régulateur et de commanditaire, ni de schizophrénie entre l’offre des médicaments qu’il organise et leur accessibilité, dont il décrète les coûts, la qualité et les obligations. Or, obligé d’assurer une couverture, il ne doit pas lui être étranger d’en abaisser les coûts pour répondre aux besoins élargis. Et nous connaissons l’impact de la maladie dans la genèse de l’inconfort, du chômage, de la misère, du mécontentement social, dans l’origine des grèves, les troubles ou la sédition !<br /> <br /> Il s’agit pour nous, à partir de l’AAMM, qui vous remercie de votre engagement et de votre affable soutien, entre autres associations dynamiques et ONG civiques, d’éclairer l’Etat sur un dol qu’il entretient et de faire prendre conscience à la cascade des décideurs, d’un concept nouveau, celui du DROIT DES MALADES. Nous sommes devant des punitions collectives, perpétrées selon un système organisé et des modes légalisés. Exactions aberrantes, devenues institutionnelles et inconscientes, revers d’un droit naturel, mais ignoré, doublées d’un devoir oublié. Nous ne disons pas dénigré, de par notre immense espoir en notre Pays et en ses Cadres nationalistes, car ce Droit et sa solution sont simples !<br /> Ce droit légitime et naturel est celui d’être traités, sans arnaques ni surenchères, comme il devient coutumier de le lire, de le voir, de le souffrir et de le déplorer. Droit de refus nouveau et devoir de délation nôtre, doublé d’une violente condamnation face à des prélèvements coutumiers, impropres et inconséquents. Des taxes abusives dans leur concept, qui saignent les malades ! Une aberration, dès qu’il s’agit pour le fisc de frapper les médicaments et de pénaliser les demandeurs de soins ! Dès lors, il nous parait juste de ne pas laisser le malade crouler sous la chape des TAXES DOUANIERES et autre antinomique TVA sur la maladie !<br /> <br /> Reformater les taxes<br /> <br /> La loi qu’il s’agit d’exorciser, l’abcès torpide qu’il s’agit d’inciser est donc cette ostensible et publique tare de l’Etat ! Une infamie, qui aberrante déjà, obère l’accès aux soins ! C’est-à-dire qu’IL S’AGIT POUR VOUS MAINTENANT DE RAISONNER AVEC LE LEGISLATEUR, de lui demander de repenser des réglementations devenues infâmantes. Des us contreproductifs, qui freinent la santé, car ils pèsent sur l’accès aux médicaments et aux soins ! Des soins que l’Etat veut élargir pourtant par l’AMO !<br /> Un leitmotiv libératoire s’entend ! Reformater les taxes de douane et de TVA ! Ces pénalités sur les fièvres et les douleurs, ces contraintes contraires que l’Etat nous impose. Des charges superflues qui représentent entre 25 à 42 % du prix des laits de bébés et autres médicaments, cruciaux et de première nécessité ! Sauf exception ! Exonérer les médicaments que notre pays n’est pas capable de fabriquer et qu’il ne sait guère inventer ! Détaxer tous les médicaments et leurs intrants ! <br /> La chimie n’ayant pas fait d’adeptes dans les coursives de l’état, ni assez de promoteurs dans l’industrie du pays ! Des taxes donc, perçues comme autant d’exactions punitives et qui datent de l’ère qui précède celle des droits de l’homme ! Ces dissonances, artefacts fossiles, archaïques, dignes des gestions reptiliennes, sont gravement antisociales ! Ce ne sont pas nos économistes et maîtres à penser, militants es-fibres socialistes, qui nous contrediront, maintenant qu’ils sont à la barre du Ministère qui gère nos Finances ! Elles plombent l’accès aux soins. Vous m’excuserez de m’appesantir sur cette punition collective qu’on administre à la Nation ! Elle est indigne du Maroc de demain, indigne de l’Islam, civilisé antérieur et que l’on veut cautériser à présent, indigne de notre ouverture moderne. Indigne de notre tolérance, qui doit être une passion envers autrui, et d’abord envers ceux qui souffrent dans leur chair, dans leur être, dans leur santé et dans leur personne.<br /> <br /> L’exemple du " Roi"<br /> <br /> En effet, l’école de solidarité et de défense des tranches pauvres et des handicapés, exprimée avec ardeur, en temps réel et sur le terrain, par NOTRE ROI , stimule notre énergie civique. Elle éveille en nous, médecins, vos amis, admirateurs, militants et concitoyens, une volonté de voir les gouvernants et les réglementations suivre, avec réalisme et dans les actes, la JUSTE PASSION DE SA MAJESTE LE ROI ET DE LA PRENDRE EN EXEMPLE <br /> Un besoin de réformes humanitaires<br /> Réformer les concepts, c’est donc, pour l’Etat de réviser le cadre même de sa fiscalité sur les soins, à la lumière de clairvoyance de SM LE ROI. A commencer par les médicaments et leurs divers intrants. De l’usine au labo et de la pharmacie au bloc !<br /> <br /> <br /> <br /> Un besoin de réforme démocratique<br /> <br /> Supprimons alors les taxes rédhibitoires qui pénalisent l’accès aux soins. Car ces prébendes usuraires sur les souffrances, génèrent de la haine et suscitent la sédition ! Ces pénalités révoltantes sur les fièvres et les douleurs, injustes et inhumaines, surmultiplient les mécontentements populaires ! Comme ces entraves augmentent notre lot d’incapacités et de handicaps, par les retards, sinon par l’empêchement des secours initiaux et dans les prises en charge ! La cherté mine le chemin des soins et barre leur administration.<br /> En défiscalisant les soins, les médicaments et leurs intrants, c’est le budget de la Santé publique, (en premier, celui des hôpitaux, civils et militaires), qui sera décuplé. Ses médicaments, ses instruments, ses réactifs. Car l’investissement dans la Santé doit être vu comme celui du Tourisme, comme des priorités aussi importantes que la fourniture du blé !<br /> Et tous les malades, du plus dramatique, au plus complexe, du moins grave au plus léger, seront dispensés de frais superflus ! La Santé s’offrira à un plus grand nombre ! Ils seront plus soignés et mieux soignés. Ils seront reconnaissants au Pouvoir qui aura libéré leur santé des contraintes ! Cette OPA, géniale, profitera à l’AMO prochaine qu’elle consolidera par des coûts de médicaments et de soins plus accessibles. Cette réforme, sur nous-mêmes et nos réglementations, est à faire en bloc et d’un seul tenant pour qu’elle soit productive et efficiente.<br /> <br /> Pour des lois plus justes<br /> <br /> En supprimant les taxes décriées, messieurs les Conseillers du Roi, vous rendez justice à l’Etat et vous rendrez sa pureté aux lois en les ré-humanisant. Agissant ainsi et conseillant de la sorte, vous rendrez les lois plus louables, plus amènes, plus convenables, plus en harmonie avec la politique de solidarité imaginée par SIDNA.<br /> En plus de la reconnaissance de la part du peuple, l’effet produira un rejaillissement psychologique sur son imaginaire et un stater sur son enthousiasme rouillant ! Un plus en sera l’effet humanitaire, qui confortera notre image au sein des Nations ! Cette reforme de la fiscalité des soins et des médicaments, sera une option curative du brouhaha généré par toutes les hausses des prix dans les hospices publics et autres ! Une chance, qui, si elle est bien pulsée, sera capable de stimuler, sans doute, cet amour pour la Patrie, qui semble en défection depuis la Marche Verte et qui se vit dans la morosité ambiante et le dégoût navrant de certains !<br /> <br /> Dr Idrissi M. Ahmed, Président de l’AAMM<br /> ASSOCIATION DES AMIS DES MYASTHENIQUES DU MAROC<br /> 112, AVENUE MED DIOURI , KENITRA , MAROC<br /> Assistance : 061252005, Telfax : 00212-0-37376330, Mail : idrissi.o.a@menara.ma
A
j'attends votre feed back<br /> j'espere que ce fut uen réussite<br /> <br /> Bon courage <br /> <br /> Ayoub
D
visitez cet autre weblog <br /> <br /> www.20six.fr/maidoc<br /> <br /> dr idrissi vous y attend !
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